Quelqu’un qui parle de gestion de patrimoine immobilier doit forcément parler d’arbitrages. Tout investisseur dans le secteur immobilier doit connaître la plus-value de ses logements en location. Cela va lui permettre de vendre aisément et plus facilement son bien. Mais beaucoup de personnes ont du mal à calculer la plus-value immobilière. Dans cet article, vous allez voir quelques techniques pour calculer la plus-value immobilière.
Déterminer toutes les dépenses liées aux travaux
Calculer la plus-value immobilière n’est pas une tâche compliquée. Il suffit de mettre en œuvre certaines techniques pour y arriver. La première chose qu’il faut faire, c’est de déterminer toutes les dépenses liées aux travaux à faire. Il faut visiter ce lien pour en savoir plus. En fait, beaucoup de personnes font l’erreur de ne pas conserver toutes les factures de toutes les dépenses qu’elles ont eu à effectuer.
Or, les factures reçues durant votre vie d’investissement locatif sont très importantes. Elles permettent de connaître exactement le montant de la plus-value. C’est sur les factures qu’il est mentionné les taxes sur valeur ajoutée. Ces factures constituent les justificatifs pour l’administration fiscale. Sans ces justificatifs, elle ne peut vous accorder des déductions.
Autrement dit, si vous ne présentez pas ces factures, vous vous verrez privé de votre droit de soustraire du prix d’achat les prix des travaux effectués sur l’immeuble.
Déduire les abattements
Après que vous ayez soustrait du prix d’achat le prix des travaux de rénovation, vous pouvez maintenant soustraire les abattements du résultat obtenu. Le système fiscal taxe la plus-value sur l’impôt sur le revenu des personnes physiques. Ce type d’impôt est actuellement taxé sur un taux de 19%. Ainsi, si vous avez déjà fait 5 ans en tant qu’investisseur dans l’immobilier, vous allez bénéficier d’un abattement de 6%.
La plus-value est aussi taxée sur les différents prélèvements sociaux prévus par le code général des impôts de chaque droit positif. Son taux est de 17,2%. À compter de la 6e année, on bénéficie d’un abattement de façon progressive.